L’UNSA revendique que les mesures prônées dans cet appel puissent être mises en œuvre rapidement :
- Faire cesser la suspicion généralisée qui pèse sur de nombreux jeunes dont les actes d’état-civil sont régulièrement contestés, alors que leur identité a été confirmée par un juge ou par les services consulaires de leurs pays ;
- Cesser l’exigence de documents impossibles à présenter pour obtenir un titre de séjour ;
- En finir avec le blocage des demandes de rendez-vous en préfecture sous prétexte de dématérialisation ;
- Généraliser l’accès de ces jeunes à des formations ou contrats d’apprentissage, en fonction de leurs niveaux de compétences ;
- Régulariser de façon large et durable les personnes étrangères présentes depuis plusieurs années sur notre territoire notamment en appliquant la circulaire du 28 novembre 2018.