Le syndicalisme européen veut dire haut et fort aux autorités européennes et à tous les États membres : « Non à l’austérité. Priorité à l’emploi et à la croissance ».

En effet, les uns après les autres, les États membres adoptent des politiques d’austérité pour respecter les critères du Pacte de stabilité et de croissance. Ceci impose de revenir sous la barre des 3% de déficit annuel en 2013.

Cet engagement représente un effort énorme pour de nombreux états qui prennent des mesures draconiennes en vue de diminuer les dépenses publiques et sociales.

Partout, ce sont l’emploi, les salaires, les retraites, ainsi que les services publics qui sont mis à mal. Ce sont les travailleuses et les travailleurs qui vont payer le prix d’une crise dont ils ne sont pas responsables.

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