Le « reste à vivre » ou les restes pour vivre ?
En cette rentrée, à l’approche d’échéances électorales, une mobilisation nationale doit s’enclencher autour de la question du « reste à vivre », à savoir ce qui reste sur le compte en banque de nos concitoyens après les dépenses incompressibles. Le « reste à vivre » ne peut être « les restes pour vivre ».
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