La pauvreté progresse dans notre pays et les jeunes les plus fragilisés avant la crise en sont les premières victimes. Parmi ces jeunes, de nombreux décrochés du système scolaire, sans diplôme ni formation, sans perspectives non plus.
Ces situations appellent pour l’UNSA des réponses rapides à la hauteur des enjeux.
Considérer ces jeunes, c’est d’abord pour l’UNSA, considérer que l’État à des devoirs vis-à-vis de chacun d’eux, dont le devoir d’instruction, et de formation. Mais aussi que l’État doit rendre effectif le droit d’obtenir un emploi, droits constitutionnels.
Ainsi l’UNSA revendique :
- un revenu d’insertion pour les jeunes, indispensable lorsque 37% d’entre eux ont vu leurs revenus baisser en 2020 (enquête de la Fondation Abbé Pierre) ;
- que la durée du dispositif ne soit pas limitée à 18 mois, afin de permettre un accompagnement de qualité sur la durée, garant d’une insertion réussie ;
- Que les moyens humains dédiés à ce dispositif soient à la hauteur des enjeux, pour repérer et accompagner, tant socialement que professionnellement, les jeunes concernés.
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