- revaloriser les bas salaires, fréquents parmi les travailleurs des TPE ;
- accorder une aide financière d’urgence aux salarié·es des TPE ayant subi une forte baisse de revenus durant cette crise ;
- revenir à la convention d’assurance chômage de 2017 pour rassurer l’ensemble des salarié·es et les préserver de la précarité ;
- s’attaquer au dossier de la prévention de la pénibilité pour en réduire concrètement les effets ;
- ouvrir un chantier rendant la formation professionnelle effective pour valoriser et améliorer les compétences des salarié·es des TPE.
Vous trouverez au lien suivant le résultat du sondage, la lettre ouverte au Premier ministre ainsi que le communiqué de presse diffusé aujourd’hui.